Les secrets de Colette s’apprête

Que se cache t-il derrière mes bijoux… Aujourd’hui je vous dévoile quelques secrets de fabrication pour mieux connaître mon univers. C’est parti !

Colette s’apprête est née pendant… Mes congés maternité.

En effet pendant le congé de ma première fille, j’ai commencé à concevoir les modèles et essayé de trouver ma patte. Beaucoup de tests, de ratés, mais aussi beaucoup de bonheur.

C’est finalement 2 ans après, pendant mon 2e congé maternité, que j’ai déposé le nom de ma marque, que je me suis formée et que Colette s’apprête est officiellement née le 19 septembre 2019.

 

Le nom de mes modèles est choisi complètement spontanément, mais jamais au hasard ! 

Ce sont des prénoms que me plaisent sur le moment, parfois en référence à des personnes que j’aime ou que j’admire, connues ou moins connues. Frida, Simone, Gabrielle… Ils ont toujours une symbolique pour moi. D’ailleurs, si vous avez des suggestions, n’hésitez pas à les laisser en commentaire de cet article.

Beaucoup de mes modèles sont imaginés… La nuit.

Et un peu malgré moi, mais il est vrai qu’une fois réveillée, au beau milieu de la nuit, j’ai très souvent beaucoup d’idées et le cerveau qui bouillonne. Le challenge est évidemment de me rappeler de tout cela le lendemain matin.

J’ai beaucoup de mal à créer des bijoux argentés. 

Le doré m’a toujours inspirée, mais j’ai beaucoup plus de mal à trouver des associations de couleurs et de matières avec l’argent. Peut-être est-ce son côté « froid » qui me parle moins, ou parce que j’en porte très peu moi-même, je me demande encore. Mais je suis par contre la première à admirer le travail de l’argent et de ses nuances chez les autres créateurs.

Colette s’apprête pourrait être sponsorisée par Palais des thés, Twinning ou Damman 

Le thé, c’est une vraie passion pour moi, le thé noir en particulier. J’ai toujours une petite théière sur mon bureau. D’ailleurs, lorsque vous passez commande sur la boutique en ligne, c’est bien souvent un petit cadeau à infuser que je glisse dans vos commandes.

J’ai appris la broderie de perles très tard, vers 25 ans environ. 

Petite, j’ai testé énormément de techniques (merci Maman, merci Mamie) : la broderie point de croix, le tissage de perles, la dentelle aux fuseaux, le macramé, le patchwork, la dentelle de luneville Mais c’est finalement bien plus tard que je suis tombé amoureuse de la broderie de perles.

Ma principale source d’inspiration est la nature. 

Les fleurs, des végétaux, un rayon de lumière… Peu importe la saison, le temps, les couleurs, je reviens toujours d’une promenade avec des idées, ou, à défaut, les idées au clair.

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